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Pour Indiscipline Et Déviationnisme, AFDC : Jean Collins Musonda Suspendu !

L’ancien Directeur de cabinet du ministre de l’Economie nationale vient d’être suspendu de ses fonctions de Secrétaire général Adjoint de l’AFDC. Plusieurs griefs sont mis à sa charge, notamment la discourtoisie et irrévérence vis-à-vis de la hiérarchie du parti dans l’expression de ses revendications.

Jean Collins Musonda Kalusambo a été suspendu, à titre conservatoire, de ses fonctions de Secrétaire général Adjoint en charge des Questions publiques,

Organisation et implantation du parti au sein de l’Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC). C’est dans une correspondance signée par le Président national ai, Placide TshisumpaTshiakatumba que l’intéressé a été notifié.

A en croire des sources sûres, cette suspension fait suite « aux recommandations contenues dans le rapport » d’une commission d’enquête conduite par les Vice-présidents nationaux et le Secrétaire général du parti qui ont été chargés de l’entendre à la demande du président national ai.

Mais pourquoi l’entendre ? Pour ceux qui suivent de près ce dossier, la filière n’est pas difficile à remonter. Tout semble commencer juste avant le dialogue national. Au moment où le facilitateur, Edem Kodjo devait recevoir les listes des participants à ce forum.

Du côté de l’AFDC, le parti n’avait reçu qu’un quota de sept participants aux assises. Et d’après des sources proches du dossier, Jean Collins Musonda voulait à tout prix voir son nom être repris sur la liste des délégués/AFDC au détriment d’un des responsables des structures du parti, et non de moindre. Mais à travers les médias, l’ancien « dircab » du patron de l’Economie nationale, Modeste Bahati Lukwebo, tenait un autre discours. Il arguait avoir quitté le cabinet pour des « raisons personnelles, de convenance personnelle ». Mais des bribes d’informations recoupées çà et là ont plutôt démontré le contraire.

Au regard de la décision du Président national ai, cela fait ombre d’aucun doute que le Secrétaire général adjoint, aujourd’hui mis momentanément à la touche – afin de garantir une sérénité au déroulement de l’enquête – aurait simplement mal digéré le fait de ne pas figurer sur la liste de l’AFDC au dialogue politique national inclusif. Ses coups de gueule vis-vis-à-vis des autres membres du parti ou encore son manque de révérence et/ou sa discourtoisie à l’égard des autres responsables du parti y seraient pour beaucoup dans cette deuxième sanction qui intervient en l’espace de moins de deux mois, après sa défenestration de l’Immeuble du gouvernement où il était Directeur de cabinet du ministre.

Alors question ? Fallait-il sacrifier des délégués représentants les structures du parti (ligue des femmes ou ligue des jeunes) au forum pour le bénéfice d’un seul homme, secrétaire général adjoint, soit-il ? Ici, à la place de jouer à la fibre familiale comme d’aucuns pourraient y penser, l’Autorité morale de l’AFDC a simplement fait appel à ceux qui priment le plus : la raison et le respect de la hiérarchie au sein de son parti. Cela, afin de préserver l’harmonie et la cohésion dans cette famille politique, la deuxième force de la Majorité présidentielle.

Et pour rester légaliste, l’on apprend dans les couloirs du parti que la commission aurait souhaité faire appel au Collège des fondateurs pour statuer sur la désormais affaire « Musonda ». Car, à y regarder de près, son comportement aurait frisé l’auto-éjection du parti ou mieux, la trahison.

Cela, pour une raison très claire : ce cadre ne peut contester le choix ou la décision de la hiérarchie du Parti, explique un analyste qui suit de près ce dossier. En plus, en se faisant passer pour un « fondateur spécial » et en se déclarant « co-contractant du Parti », il se dévoile dans son intention de diviser le parti. Et, enfin, quand on prend la liberté politique dans une formation politique sans se référer à la hiérarchie, c’est une option, à peine voilée, pour une nouvelle idéologie. Ces faits s’apparentent ni plus ni moins à une auto-exclusion de l’AFDC.